Si l'un ou l'autre d'entre vous veut garder la surprise, qu'il s'arrête de lire. En effet, je n'ai pas la prétention d'empiéter sur le territoire de Jean-François Ménard, que j'estime énormément. J'adore son style et je trouve qu'il est écrivain à sa façon. C'est quelqu'un qui m'impressionne. Je serai traductrice un jour peut-être, mais jamais à son niveau, un niveau d'élite! Par respect pour lui, dès la sortie du livre en français en librairie, j'effacerai toutes mes traductions de ce site.
Pour les impatients, j'ai tenté de traduire le début de l'ouvrage que je vous présenterai pièce par pièce.
Je ne suis qu'en première année d'études de traduction, donc la qualité n'est pas des meilleures. C'est souvent même très boitteux...
Vu que je dois traduire pour m'exercer en vue de mes examens de ratrapage d'octobre, autant traduir quelque chose qui me passionne réellement!
Bonne lecture
Harry potter et le Prince de sang mêlé
Chapitre 1 : L'Autre Ministre
Minuit approchait. Le Premier Ministre était seul, assis dans son bureau, et lisait une longue note de service. Celle-ci ne faisait qu'effleurer son cerveau, car il n'était guère en mesure d'en dégager la moindre signification. Il attendait un appel téléphonique du Président d'une contrée très éloignée. Il tentait de s'obliger d'effacer de sa mémoire le souvenir de ce qui fut une semaine interminable, exténuante et très difficile tout en se demandant quand cet homme maudit allait l'appeler. Son cerveau était saturé. Alors qu'il essayait de se concentrer au maximum sur le document qui se trouvait devant lui, le Premier Ministre put très clairement apercevoir la mine réjouie d'un de ses opposants politiques. La personne en question avait fait irruption dans les nouvelles le jour-même. Elle avait non seulement fait la liste de tous les évènements tragiques qui avaient eu lieu au cours de la semaine précédente, (comme si quelqu'un avait besoin qu'on lui les rappelle), mais avait également expliqué pourquoi tous, sans la moindre exceptions, étaient imputables au Gouvernement.
Commentaires :
Re:
Re: Re:
Re: Re: re:
Moi ossi je sui loin démé langlé é 2 le comprendre donc jatten ac impatience la sorti du livre ki é pour biento enfin !!!! biz
.....
bon courage
venaline
Bonne chance
Juste une toute petite question : as-tu déjà lu la fin ?
J'aime vraiment ta traduction, tu es super courageuse !
Re:
Re: Re:
Re: Re: super
Moi aussi j'ai commencé à traduire mais je suis pas très bon...
Chapitre 1 : L’autre ministre.
Il était presque minuit. Le premier ministre était assis, seul, dans son bureau, en train de lire un long rapport dont il oubliait instantanément chaque mot juste après les avoir lus. Il attendait l’appel du président d’un pays lointain. Or, entre attendre que cette misérable personne daigne décrocher son téléphone et oublier les durs souvenirs d’une longue, fatigante et difficile semaine, il ne restait plus trop de place libre dans sa tête. Plus il s’appliquait à rester concentré sur le document devant lui, plus il voyait clairement le visage réjoui d’un de ses adversaires politiques qui était apparu aux informations ce jour là, pas seulement pour énumérer toutes les terribles choses qui étaient arrivées la semaine précédente (comme si quelqu’un avait besoin qu’on les lui rappelle), mais aussi pour expliquer que chacune d’elles étaient entièrement de la faute du gouvernement.
Le premier ministre s’ennerva devant l’injustice que représentaient ces fausses accusations. Comment diable son gouvernement aurait-il pu empêcher ce pont de s’effondrer ? C’était outrageant pour tout le monde de suggérer qu’ils ne s’en étaient pas assez occupés. Ce pont avait moins de dix ans et même les meilleurs experts n’arrivaient pas à expliquer pourquoi il s’était littéralement coupé en deux envoyant ainsi des douzaines de voitures dans les profondeurs de la rivière juste au dessous. Et puis, comment ont-ils osé prétendre que c’était la négligence de policiers qui avait entraîné ces deux horribles meurtres si bien relayés dans la presse ? Peut être que le gouvernement aurait dû également prévoir le violent ouragan qui ravagea l’ouest du pays et qui causa autant de dégâts humain que matériel. Etait-ce sa faute si son jeune ministre, Herbert Chorley, avait choisi cette semaine là pour agir de façon étrange ? Si bien qu’il était maintenant obligé de passer le reste de son temps chez lui.
« Un vent de malheur souffle sur notre pays, » avait conclu son adversaire, dissimulant à peine son visage grimacé.
Et malheureusement, il avait raison. Le premier ministre le sentait lui-même ; tout le monde semblait vraiment plus malheureux que d’habitude. Même la météo était morne ; tout ce satané brouillard en plein mois de juillet… Ce n’était pas logique, il y avait quelque chose d’anormal dans tout cela…
Il se tourna vers la deuxième page de son rapport et vu qu’elle était beaucoup plus longue que la précédente. Il décida donc d’abandonner en prétendant qu’il s’agissait d’un travail médiocre. Comme il s’étirait les bras au dessus de sa tête, il en profita pour jeter tristement un coup d’œil à la salle qui lui servait de bureau. C’était une drôle de pièce agrémentée d’une belle cheminée de marbre disposée en face de grandes fenêtres à guillotines fermement verrouillées à cause du froid régnant à l’extérieur. Le premier ministre se leva en frissonnant légèrement et se dirigea vers les fenêtres, afin d’observer l’épaisse brume qui venait se presser contre la vitre. C’est à cet instant, alors qu’il était dos à la pièce, qu’il entendit un léger toussotement derrière lui.
Il se figea devant le reflet sur la vitre sombre de son propre visage rempli de peur. Il connaissait ce bruit. Il l’avait déjà entendu avant. Il se tourna très lentement pour faire face à une pièce vide.
« Bonjour ? » dit-il en essayant de paraître plus brave qu’il ne l’était en réalité.
Pendant un bref instant, il eut l’espoir que personne n’allait lui répondre. Mais, une voix s’éleva tout d’un coup. C’était une voix tranchante et décidée comme si les mots avaient été appris par cœur. Elle provenait, comme l’avait deviné le premier ministre lorsqu’il avait entendue le léger toussotement, du petit homme ressemblant à une grenouille qui portait une longue perruque argentée et qui était peint sur une petite toile crasseuse dans le coin de la pièce.
« Au premier ministre moldu. Devons nous rencontrer d’urgence. Veuillez répondre immédiatement. Cordialement, Fudge. »
L’homme sur la peinture regarda le premier ministre d’un air interrogateur.
« Euh, » dit le premier ministre, « écoutez… Ce n’est pas vraiment le bon moment… J’attend un coup de téléphone, vous savez,… du président de.. »
« Ca pourra s’arranger, » dit le portrait aussitôt. Le cœur du premier ministre sombra dans sa poitrine. Il avait justement eut peur de ça.
« Mais je voulais vraiment parler à.. »
« On s’arrangera pour que le président oublie d’appeler. Il retéléphonera plutôt demain soir, » dit le petit homme. « Veuillez répondre immédiatement à Mr. Fudge. »
« Je… oh… très bien, » dit faiblement le premier ministre. « oui, je vais voir Fudge. »
Re:
J'avais déjà rep. mais mon texte s'est perdu je ne sais vraiment pas où. C'est mystérieux les ordis parfois... Je te félicitais pour ta superbe traduction que j'aime beaucoup... Très très bien traduit! a+ Naelia
Chapô !!!
Waaaaaooooooooooowwww!!!! C génial ce ke tu fé!!!!moi chui en train de le lire en anglais en ce moment mêm é j'avait pas franchement compris ça....Chapô l'artiste!!!
Continu comme ça,C super !!! Moi j'adore l'anglais et chui un peu décuragée de voir que j'avais pas tout compris... j'ai aussi lu le 5ème mais j'avais eu l'impression de comprendre...Dommage.
Re:
bon, en fait je ne sais pas si je prefere connaitre l histoire a l avance ou que ca soit 1 surprise . mais en tout cas pour ceux qui desire savoir 1 page du tome allez sur poudlard.org.Et a la page d accueil, vous allez au titre : les lignes manqantes de l edition anglaise
Re:
jd ta traduction celle que g fe est une insulte a cote de ca
g peu pas taider dsl me ge ss moin ke basic en anglè
courage la fin est encore loin ...tres loin...
m1tenat g pu kame metre o boulot en angle cette annee
Re:
Re:
vous ete bon pour traduire se texte jaimerais savoir tout sure le reste du text je sui une grande fane d'harry potter lors merci davence
julie héroux
Re:
Re: 3 chapitres traduits dans http://www.gazette-du-sorcier.com/
PS: Pour les traductions de noms propres: voir le site Potter88.net.
C'est très sympa et plutôt bien documenté!
salut
dommage
Re: dommage
Merci
Merci pour cette traduction qui a un peu calmé mon impatiente.
En effet moi qui suit un fan invétérer de Harry Potter (j ai tous les livre en francais et tout les dvd ) Jai beaucoup apprécié de pouvoir lire un peu de mon livre préférer. Alors moi qui ne suis pa bilingue (je n ai que 13ans) cela ma fait très plaisir.Je vai conseillé ce site a tout mais pote fan de Harry .
Simon
stupidchick
wow, tu édites une traduction totalement gratuite et totalement subversive...
J'adore ça! J'ai lu "Harry Potter 6" aussi et je suis parfaitement bilingue, je peux t'aider. C'est une idée géniale.
Ca me donne des idées... :)