Je suis de bonne humeur
--> Des projets pour l'avenir
Ma philosophie est celle de vivre jour le jour. Je me dis : "advienne que pourra". Je ne m'empresse jamais de savoir d'avance ce que le destin me réserve; je profite juste des joies quotidiennes, et les ennuis, les problèmes, je les enfermes dans un tiroir. Il est inutile de se faire mal; la vie est belle. Oui, je dis souvent cela, mais je suis réellement convaincue par ce que je dis. La vie est trop courte pour être gâchée.
En début de soirée, un peu de panique est venue s'emparer de ma petite personne, mais maintenant ça va. L'an prochain, je désire fréquenter l'école d'interprète à Genève, en Suisse. Tout à l'heure, je suis allée me balader sur le site internet de cette école, et à ma plus grande surprise, les inscriptions sont uniquement jusqu'en fin janvier. En plus de cela, il faut passer des examens d'admission. Je vais encore me renseigner à ce sujet, mais j'espère vivement que ceux-ci aient lieu après le bac. Je sais, je suis frêle, je n'aime pas être perturbées par trop de trucs à la foi.
A par ça, je suis heureuse de débuter ces études l'an prochain. A l'âge de quatre ans, je ressassais déjà à mes parents qu'un jour je serais interprète. Un beau jour, je me suis mise à traduire une conversation française de mon père en italien et j'ai demandé à ma mère si un métier de traduction simultanée existait : c'est alors qu'elle me fit part de ma destinée.
Quatorze années, c'est beaucoup. Pourtant, je n'ai pas changé d'avis. Je suis toujours fascinée lorsque j'entends des émissions traduites simultanément à la télévision et lorsque je pense que ceci pourrait être mon métier, cela me fait chaud au coeur.
C'est un métier très astreignant, qui demande beaucoup de concentration, mais je vous assure que c'est passionnant. L'amour pour les langues, c'est merveilleux.
En début de soirée, un peu de panique est venue s'emparer de ma petite personne, mais maintenant ça va. L'an prochain, je désire fréquenter l'école d'interprète à Genève, en Suisse. Tout à l'heure, je suis allée me balader sur le site internet de cette école, et à ma plus grande surprise, les inscriptions sont uniquement jusqu'en fin janvier. En plus de cela, il faut passer des examens d'admission. Je vais encore me renseigner à ce sujet, mais j'espère vivement que ceux-ci aient lieu après le bac. Je sais, je suis frêle, je n'aime pas être perturbées par trop de trucs à la foi.
A par ça, je suis heureuse de débuter ces études l'an prochain. A l'âge de quatre ans, je ressassais déjà à mes parents qu'un jour je serais interprète. Un beau jour, je me suis mise à traduire une conversation française de mon père en italien et j'ai demandé à ma mère si un métier de traduction simultanée existait : c'est alors qu'elle me fit part de ma destinée.
Quatorze années, c'est beaucoup. Pourtant, je n'ai pas changé d'avis. Je suis toujours fascinée lorsque j'entends des émissions traduites simultanément à la télévision et lorsque je pense que ceci pourrait être mon métier, cela me fait chaud au coeur.
C'est un métier très astreignant, qui demande beaucoup de concentration, mais je vous assure que c'est passionnant. L'amour pour les langues, c'est merveilleux.
Ecrit par Naelia, le Lundi 17 Novembre 2003, 22:18 dans la rubrique Récit d'une vie jour pour jour.